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Prog Urol ; 2023 Jun 05.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-20230801

ABSTRACT

INTRODUCTION: The COVID-19 pandemic disrupted all routine health care services in 2020. To date, data regarding adjustment and coverage of surgical backlog in the post-COVID era actually remains scarce. The aim of this study was to compare the number of urological procedures coded between 2019 and 2021 in public and private institutions to (i) quantify the variation in surgical activity linked to the shutdown in 2020 and (ii) study the adjustment of procedures over the year 2021. MATERIALS AND METHODS: This is a comprehensive retrospective analysis of all urological surgeries coded between January 1, 2019 and December 31, 2021 in France. Data were extracted from the open access dataset of the national Technical Agency for Information on Hospital Care (ATIH) website. In total, 453 urological procedures were retained and allocated in 8 categories. Primary outcome was the impact of COVID-19 analyzed by the 2020/2019 variation. The secondary outcome was the post-COVID catch-up analyzed by the 2021/2019 variation. RESULTS: Surgical activity in public hospitals dropped by 13.2% in 2020 compared to 7.6% in the private sector. The most impacted areas were functional urology, stones and BPH. Incontinence surgery did not recover at all in 2021. BPH and stone surgeries were far less impacted in the private sector, with even explosive activity in 2021, post-COVID period. Onco-urology procedures were roughly maintained with a compensation in 2021 in both sectors. CONCLUSION: The recovery of surgical backlog was much more efficient in the private sector in 2021. The pressure on the health system associated to the multiple COVID-19 waves may generate a gap between public and private surgical activity in the future.

2.
Progrès en Urologie - FMC ; 32(3, Supplement):S32-S33, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-2086227

ABSTRACT

Objectifs La pandémie de COVID-19 a perturbé fortement l’organisation des soins. Notre objectif était de rapporter le nombre de codages de tous les actes chirurgicaux urologiques dans les établissements de santé publics et privés français en 2019, 2020 et 2021 afin de (i) quantifier la variation d’activité chirurgicale liée à la crise en 2020 et (ii) étudier le rattrapage éventuel des actes sur l’année 2021. Méthodes Pour chaque acte chirurgical classant Classification commune des actes médicaux (CCAM) relatif au domaine de l’urologie, le nombre de codages réalisés en 2019, en 2020 et en 2021 en établissement public et privé a été extrait de la base de données en libre accès de l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH). Les 453 actes chirurgicaux ont été répartis en 9 catégories : cancérologie, lithiase, organes génitaux externes, haut appareil, vessie, hypertrophie bénigne de prostate (HBP), traumatologie, urologie fonctionnelle (pelvi-périnéologie/neuro-urologie/incontinence), et transplantation. L’impact du COVID a été analysé par la variation 2020/2019 (année de référence), et le rattrapage post-COVID par la variation 2021/2019. Résultats Les établissements publics ont subi une baisse d’activité de 13,2 % en 2020, contre 7,5 % dans le privé, variable selon les thématiques (Tableau 1). La pelvi-périnéologie et les chirurgies bénignes furent sévèrement impactées, la cancérologie restant relativement préservée, en accord avec les recommandations. La chirurgie de l’HBP et de la lithiase furent beaucoup moins impactées dans le secteur privé notamment pour l’urétéroscopie. L’analyse des données 2021 montre un rattrapage d’activité supérieur dans le secteur privé dans quasiment tous les domaines, notamment en onco-urologie, à l’exception notable des cystectomies carcinologiques. La chirurgie du prolapsus et de l’incontinence, impactés par ailleurs par les arrêtés ministériels d’encadrement des pratiques, restait réduite en 2021 sans aucun rattrapage. L’activité de transplantation restait aussi significativement réduite. Conclusion La diminution d’activité chirurgicale urologique fut beaucoup plus importante dans le secteur public en 2020, avec une préservation de la cancérologie. Les données 2021 montrent un rattrapage d’activité notablement plus élevé dans les établissements privés, à l’exception notable de la chirurgie de l’incontinence et du prolapsus, également impactés durant cette période par des mesures d’encadrement restrictives.

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